Badiya
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Kelig - Chef du clan des mers

Anonymous





Invité
Invité
Mar 3 Sep 2013 - 14:06


KELIG


Fils de : Gajin  Atlan (père) et Erene Oliah (mère).
Âge : 27 ans.
Appartenance : il a créée son propre clan : le clan des mers.
Métier/Occupation : Chef du clan des mers.
Avatar :
Rang souhaité : Chef du Clan des Mers.

LE PHYSIQUE


Kelig est un homme mesurant environ dans les un mètres quatre vingt. Il n’a pas l’air physiquement plus viril que certains des hommes de son harem, il peut paraitre même carrément frêle pour un chef de clan, pourtant détrompez vous, il n’a rien d’inoffensif. Ayant des muscles, même, s’ils ne sont pas énormes au point de faire de lui quelqu’un d’effrayant. Il pèse environ 78kilos, ni trop gros, ni trop mince donc. Kelig porte le plus souvent de légères tuniques de soies, mais quand il s’agit de combattre quelqu’un, il revêtira son armure de cuir bien plus habillée, pour le protéger des coups.
Il porte dans le dos un tatouage, celui-ci représente un « kraken », ce monstre des mers que les pirates craignent toujours de rencontrer, qui dévore des bateaux entier.

Spoiler:

Il porte aussi quelques cicatrices, qui sont dues à plusieurs incidents dans sa vie notamment à la tempête qui a fracassée son bateau contre les rochers qui conduisent à Badiya. La plus grosse se situe au dessus de son nombril, faite par une dague lors d’un combat, dans un de ses nombreux pillages, qui a faillit très mal finir.

Il porte les cheveux assez longs,  ceux-ci lui arrivent en bas des omoplates, il les ornes souvent de plûmes, de perles.  Ces cheveux sont châtains clairs, quelques reflets blonds  se font voir au soleil quand il s’y expose.  Ils sont toujours bien peignés par les beaux esclaves de son clan qui l’entoure.
Ses yeux sont verts émeraude, donnant à son visage, un air encore plus peste, que ce qu’il n’y parait déjà.

De plus, n’étant pas très lourd, il est très rapide et à de bons réflexes, ainsi qu’une souplesse digne de ce nom, il est capable de porter des attaques, très minutieusement bien placées, et de se déplacer dans un silence absolu, avec ses troupes qu’il tient d’une main de fer.

LE CARACTÈRE


Kelig ne parait pas dangereux aux premiers abords, et il le sait très bien, il se sert de cet atout au quotidien pour désavantager son ennemi en combat. Il fait partit de ce genre d’hommes qui n’hésite pas à utiliser de ses charmes pour subtiliser une victoire. Outre cela, il est entrainé à tuer depuis petit, ayant toujours passé sa vie avec son père dans la piraterie, et étant le descendant du capitaine, il a toujours été élevé dans cet optique, un capitaine, étant sans pitié et n’hésitant pas à piller, violer, et tuer, ce que kelig fait sans en être gêné. Il est extrêmement manipulateur et stratégique, contrairement à certains autres chefs, qui ne se contentent de ne penser qu’avec leur muscle plus qu’avec leur cerveau.

On le surnomme le renard du désert de par son coté malin et vicieux, comme cet animal, mais aussi sûrement à cause de la couleur de ses cheveux, comme le pelage de cet animal.

Il agit toujours avec fierté, c’est un homme très imbu de lui-même et adorant qu’on le fasse se sentir important. C’est pour cela qu’il a construit son propre harem, ainsi que son petit palais rudimentaire, ou il vit avec les plus beaux garçons qu’il a pu rassembler aux quatre coins du désert.  Il adore se faire passer pour un prince auprès des personnes qui ne le connaissent pas, et ainsi se faire traiter comme un dieu. A l’inverse, il ne supporte pas qu’un esclave lui manque de respect, mais éprouve un plaisir sadique à le « dresser » pour qu’il lui soit voué corps et âme, plus surtout plus de corps.

Comme déjà évoqué, il adore les beaux garçons, et n’est d’ailleurs doux et gentil qu’avec eux et eux seul. Il serait même capable de négocier quelque chose avec un autre clan, juste en échangeant un homme qui lui plairait. Il préfère bien évidemment les hommes au visage fin, doux, avec une certaine élégance, ce qui ne veut pas dire qu’il ne passerait pas la nuit avec un chef de clan qui lui plairait tout autant de par son coter  rustre. Par contre, il couche rarement avec un de ses membres d’équipage, même si ce n’est pas impossible, mais alors il faut que cet homme soit un très bon combattant qui le mérite en « récompense ».

Il est un homme juste avec son « équipage » qui, maintenant qu’ils sont coincés ici, est devenu un clan. Il sait conduire ses troupes, et offre à ses meilleurs combattant bien souvent or, beuveries et il leurs « prête » quelques uns de ces magnifiques hommes afin de les féliciter, et cas rare, féliciter un guerrier de sa personne.

Kelig est aussi quelqu’un de profondément insensible à l’évocation de la mort, il n’a ni peur de mourir, ni peur de  la douleur que pourrait-être sa propre mort, au contraire, quand il en parle, un sourire presque malsain se dessinerait sur ses lèvres, il ajouterait même sûrement « quitte à être torturé, que ce soit par un bel homme ». Il serait même plutôt sadique avec certains de ces ennemis, les tuant parfois dans d’atroces souffrances, cela lui plaisant clairement. Il adore recruter de nouveaux guerrier en gagnant une bataille, la moitié de ses guerriers sont d’anciens fermiers, soldats, voleurs, ou autres pirates et guerriers de d’autres clans, qu’il a forcer à venir avec lui, en échange d’épargner leur vie. Bien évidemment, ceux qui refusent, ne sont plus là pour témoigner.

L'HISTOIRE


Son  père Gajin venait de lointaines contrées à l’opposé de Badiya.
Ces contrées, plus évoluées que la ville du désert, possédaient déjà des demeures un peu plus confortables, et des avancées plus grandes, telles que les bateaux, certes rudimentaires encore, mais déjà bien fonctionnels. Cette contrée se nommait Atlanis, qui donna le nom de famille du père de Kelig, Atlan. Elle se situait si loin, qu’aucuns habitants ne pouvaient deviner qu’ailleurs il y avait tout un autre monde fait de sable et de désert.

Venant d’une grande famille de seigneurs de cette contrée,  Gajin devint marin dès que l’utilisation des bateaux lui fut permise par son père lui-même.  Ces engins permettaient surtout de parcourir le monde afin d’améliorer le sort de sa propre ville, au détriment du sort des autres villes. Comme les vikings, il y a des milliers d’années, ils naviguaient sur les mers, pillant, brûlant des villages entier, ou organisant un commerce marin avec l’or qu’ils récoltaient de leurs forfaits. Parfois quand la chance le voulait, ils ramenaient des femmes à leur gout dans leur village, au lieu de les tuer. Ce qui faisait d’Atlanis une contrée quelque peu métissée. Les femmes vivaient avec les hommes, et non pas dans des palais comme ici.

Une femme, Gajin en rencontra une lors d’un de ces fameux pillages. Quand il vu les cheveux blonds et les yeux verts de celle-ci, il fut séduit pour la première fois de sa vie. Et pour la première fois, il ne fut pas le rustre seigneur qui sème la mort dans de pauvres villages. Il la ramena de force à Atlanis. La pauvre femme ne pouvait pas l’aimer au début, ni même l’accepter. Mais avec le temps et de la douceur, cela fut le cas, et Kelig vint au monde. Avec une voie toute tracée pour lui. Fils du capitaine Atlan, son rôle était de faire perdurer la piraterie, c’était dans ses veines.

Il passa les cinq premières années de sa vie avec sa mère, sur la terre ferme, bercé par les histoires de ses ancêtres, et des autres contrées, les histoires que son père lui racontait aux retours de ses voyages. Mais il fallait bien avouer, qu’il passait plus de temps à ne pas avoir de père, qu’à voir celui-ci. Sa mère et lui vivaient dans la peur constante qu’une tempête arrache son père pour ne plus jamais le lui rendre. Mais celui-ci regagnait toujours le village, rassurant sa famille.

Dès qu’il eut six ans, il lui fut permit de monter à bord, il reçu d’ailleurs ses premiers cours d’épée, de combats à mains nues, mais il vit aussi pour la première fois, son père tuer de pauvres gens, qui n’avaient fait aucuns mal.  Cette vision fut dure pour lui, après tout, il savait que ces gens n’étaient que de simples paysans, comme dans son propre village. Mais sa notion du bien et du mal, étant encore obscure sur certains points, lui se mit à penser, que si son père et les hommes de son père le faisaient, c’est que ce n’était pas si mal. Il grandit avec cette même pensée, qui lui donna sûrement son caractère si insensible, le rendant meurtrier plus qu’autre chose.

Dès lors, il ne fut plus considéré comme un enfant. Sa mère fut horrifiée de ce que son fils pouvait lui raconter sur ce qu’il se passait dans les villages, ou le bateau, mais ne pouvait rien faire d’autre que de laisser faire. De toute manière son mari ne laisserait pas son fils rester un simple seigneur sur le village d’Atlanis. Kelig aimait profondément sa mère, mais son éducation lui rappelait que les femmes étaient en dessous des hommes dans l’échelle humaine, et que de toute façon, elle n’avait rien d’autre à faire qu’accepter.

Kelig eut quatorze ans, un âge encore jeune pour nous, mais un vrai pirate quoi qu’on en dise. Il faisait la fierté de son père, mais pas celle de sa mère hélas, mais qu’importe. C’est à ce moment  là qu’il fit son tatouage, signifiant qu’il faisait partit de la piraterie pour de bon.
En tant que futur capitaine, on lui tatoua le fameux Kraken, représentant la force des pirates, mais aussi insinuant qu’ils n’avaient pas peur de se faire capturer par cette créature, soit, comme message : qu’ils n’avaient nullement peur de mourir.  Et la mort il avait faillit la connaitre.

Lorsqu’ils tuaient les hommes d’un village riche, un d’entre eux vint derrière lui pour le tuer, dague à la main. Kelig réussit à esquiver le coup à la tête, mais fut ouvert à l’abdomen. La blessure n’avait heureusement pas ouvert son ventre, ce qui lui aurait été fatale, mais qu’il avait souffert, et que la blessure avait saignée. Il avait échappé de peu à la mort.

C’est aussi à cet âge, peut de temps après son passage à « l’âge adulte », qu’il passa la nuit avec un autre pirate, chose qu’il ne dit jamais à son père.
L’homosexualité était un fait sur le bateau, même si elle était temporaire, comme partout, quand une communauté d’hommes passe des mois ensemble sans voir une femme, ils se contentent d’autre chose. Surtout vu le visage Kelig à cet âge, il faisait tellement féminin, le portrait craché de sa mère, comment ne pas être tenté face à ce jeune homme, qui était considéré comme un adulte.

Souvenir plus que douloureux pour lui. Déjà le faire avec un homme, est quelque chose de douloureux, mais en plus un homme rustre, en manque, et sans aucune douceur, c’est encore pire. Ce n’est pas pour autant que cette terrible mauvaise expérience, l’à empêcher de recommencer, mais elle lui fit préférer prendre qu’être prit. Du moins maintenant.

Lorsqu’il eut 19 ans, son père décéda, tué par un autre homme lors d’une attaque de son village natale, par un village cherchant vengeance.
Après plusieurs mois à faire un deuil difficile, ainsi qu’à devoirs s’occuper de sa mère lourdement touchée également, il prit sa succession, malgré les plaintes de plusieurs membres d’équipages qui le jugeait trop jeune pour diriger tout ces hommes.

Il prit très mal ces remarques, qu’il fit taire en prouvant à tout le monde qu’il était encore plus dur que son père, plus impitoyable, mais aussi plus frivole. Son père décédé, il ne se cachait plus de ses penchants envers d’autres hommes. C’est à cette période qu’il commença à ramener des esclaves d’autres villages avec lui pour son propre plaisir personnel. Mais également, chose qu’il n’avait encore jamais réalisé, faire monter sur le bateau des personnes qui ne connaissaient rien au monde marin, et qu’il fallait « former » à devenir un marin. Des hommes puissants, qui avaient prouvés leur valeur parfois en tuant des amis de Kelig.
Cette idée offusquait d’abord les hommes, qui voulaient se venger des amis perdus au combat par la faute de ces étrangers.

Un des hommes provoqua alors le jeune capitaine en duel pour avoir gain de cause, s’il gagnait, il prendrait les commandes du bateau. Ce ne fut pas le cas, plus rapide que lui, Kel n’eut aucun scrupules ou sentiment à poignarder un de ses hommes et à le tuer. Faisant ainsi taire la révolte. Le jeune garçon l’avait déjà prouvé, il était bien plus cruel que son père. Même avec ses propres hommes quand on lui désobéissait.


Kelig à maintenant 24ans, lui et ses marins décident de partir pour la plus grande expédition jamais réalisée encore. Ils veulent aller à l’ opposer de leur monde. Avec des cartes totalement fausses et incomplètes, ils mettent alors les voiles et commencent à naviguer. La mer est trompeuse, elle qui était calme au début commence à s’agiter. Le jeune homme donne ses ordres aux marins pour réussir à passer la tempête qui commence à se lever de plus en plus forte. Mais ils sont en désavantage, et s’aperçoive qu’ils n’ont pas les moyens de faire face à un orage si puissant. Peut à peut le bateau tangue, de plus en plus, les mâts cassent. Ils approchent de la fin. Le bateau est propulsé contre d’immenses rochers, Kelig perd connaissance en étant jeté violemment par le choque contre une poutre.

Le constat est désastreux, sur presque cent membres d’équipage, seulement une quarantaine ont survécus, et beaucoup sont blessés. Ils quittent les plages, gagnant le désert. Ils ne le savent pas encore, mais ils viennent d’arriver à Badiya. La chaleur ardente du désert, ils ne la connaissent pas, là d’où ils viennent le climat est plus clément. Ils sont perdu, dans un monde qu’ils ne connaissent pas, ni des cartes, ni du paysage, ni du climat invivable.

Quinze autres hommes mourront lors de cette traversée. Seulement une vingtaine d’hommes arriveront à l’oasis qui sauvera leur vie. Ayant de l’eau, quelques animaux pas loin, et connaissant le chemin pour aller à la mer. Ils arrivèrent à survivre dans ce nouveau monde hostile. Ils n’avaient aucun moyen de repartir, et commencèrent alors à s’installer ici. Formant pour la première fois le clan des mers. Qui n’en était encore pas un.

Bloqué ici, il fut difficile d’oublier Atlanis, d’oublier leur famille, pour Kelig, d’oublier sa mère. Certes, il ne la voyait plus beaucoup, ni elle, ni le reste de sa famille, mais là, il ne les reverrait plus jamais. C’était certain. Il était complètement impossible de regagner leur terre, ou même de reconstruire un bateau. Il fallut partir en exploration, découvrir les villages, les coutumes d’ici, apprendre également la langue, le point le plus difficile pour eux, car ils étaient tellement loin de chez eux, qu’aucun humain présent ici ne parlait la même langue qu’eux.

Ils établir quelques petits pillages, leur force étant encore présente, mais leur armée bien réduite. Ils allèrent de village en village en recrutant de force des hommes, ou des vagabonds qui y voyaient leur intérêt. Ainsi, ils réussirent à bâtir leur propre village, sur leur oasis près des cotes. L’or qu’ils amassaient de leurs méfaits, leurs permit  d’acheter à des vendeurs ambulants plusieurs choses nécessaires. Ils volèrent des bêtes, dont il fit l’élevage pour réussir à correctement se nourrir.


Kelig se fit construire son petit palais avec son harem, là ou il laisse ses esclaves le jour, ayant construit de petits bains, s’étant fait une « chambre » si on peut l’appeler comme ça. Ce n’est pas très luxueux, mais convenable.  Il se mit en route à chaque fois que le marchand d’esclaves venait près de leur clan, afin de ramener les plus beaux hommes chez lui, pour s’occuper de sa petite personne, et parfois d’un de ses hommes, ou même d’aider au développement du clan.

Il alla également au palais, lors des fameuses journées ou les portes sont ouvertes pour les hommes. N’étant pas habitué de voir que les femmes vivaient recluses dans un temple loin des hommes. Ça lui semblait complètement fou, pour lui, qui avait toujours vu son père et sa mère vivres ensemble. Il ne saisissait pas du tout le sens de cet éloignement, et se demandait comment les enfants faisaient pour vivre sans leurs deux parents.


Pour la première fois, il connut « une femme » au lit du moins. Il sait qu’il a un ou deux enfants. Peut-être que, quand ils seront des hommes des vrais, ils viendront le rejoindre, si ce sont des mâles.

Le capitaine Kelig, devint le chef Kelig, ils ne décidèrent pas d’attaquer les autres clans, pas tant qu’ils ne seraient pas prêts. Ils attendirent d’avoir un meilleur confort, ils étudièrent leur nouveau terrain, et parfois même espionnait discrètement les autres clans afin de connaitre leurs points forts.

Aujourd’hui, ils sont prêts, et ont décidés de sortir enfin du désert. Ils n’ont pas encore décidé d’attaquer, mais le prévoient.

LE JOUEUR


Pseudo : //
Âge : 25 ans.
Comment avez-vous connu le forum : //
Votre présence sur le forum : //
Êtes-vous un DC : Non.
Un Commentaire : Je suis une fille. 8D
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Le Djinn





Le Djinn
Maître du Jeu
Mar 3 Sep 2013 - 20:20



FICHE VALIDÉE


Bienvenue parmi nous et félicitations !
Votre fiche vient d'être validée !

Bonjour et bienvenue ^^

Et bien outre quelques petites fautes inattention, tout est ok !

Je te valide donc mais tu t'en doute, j'ai un certain nombre de choses à faire pour créer ton clan donc ça prendra un peu de temps.

Bon jeu !


Nous vous souhaitons un bon jeu parmi nous et nous vous conseillons d'aller consulter les liens ci-dessous :

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