LE PHYSIQUE
Agendra est d'une discrétion telle qu'il ne sera jamais plus qu'une bride de tissus coloré se reflétant éphémèrement dans vos pupilles au détour d'une rencontre fortuite dans le désert. D'une carrure fine et élancée, son mètre 75 contre balance avec peine son poids plume.Le faisant arboré une silhouette délicate et gracile. On peut pourtant deviner une discrète, mais existante musculature sous cette enveloppe de délicatesse. Son visage aux traits fins et doux renforce cette image, bien souvent, vous le trouverez avec une moue délicieusement boudeuse dessinée sur ses lèvres d'un rose pâle.
Si d'aventure, vous avez la chance de croisé le jeune homme à l’abri de l'astre solaire, vous pourriez détailler ce qui se cache continuellement d'ordinaire sous ses multiples couches de voilages aux teintes diverses. Agendra semble inachevé dans sa création tel un artiste distrait ayant délaissé son œuvre à peine initié de sa peau diaphane à sa chevelure couleur de lune en passant par son timbre de voix éthéré. Il émane de sa personne, une image pureté. Seul son regard apporte une nuance de couleur dans son aspect immaculé. Un iris bleu-gris surmonté d'une pupille rouge-rosé se dévoile à qui l'observera d'assez près, traduction naturelle d'un corps inadapté à la vie en plein jour... Reflet de sa maladie...
LE CARACTÈRE
On dit généralement qu'il ne faut guère plus qu'un regard pour se faire une idée précise et parfois fausse d'un individu que l'on croise. Agendra n'échappe pas à cette règle vieille comme le monde, d'autant plus que son aspect physique lui confère un petit quelque chose de particulier, d'irréelle même. Impression d’insaisissabilité conjointe d'une pointe d'un petit quelque chose de magique. Ainsi, l'imaginaire collectif supposera que son caractère ne sera que le reflet de la douceur et la délicatesse que son physique transparaît.Il y a tant de vrai que de faux dans cette supposition.
Son physique et sa santé vacillante ont vite fait du jeune homme, une personne au tempérament calme, posé et réfléchit. Nulle intimidation de sa part, il usera d'avantage de mot pour vous convaincre du bien fondés de ses aspirations, ses pensées. Sa gestuelle est souvent empreinte d'élégance et douceur, néanmoins, il peut tout à fait ce montré plus vif et directif. Agendra n'est pas aussi lisse que son image le renvoie, ni aussi sage. Comme tout homme, il est fait d'envie et de désir... Il n'hésitera d'ailleurs devant aucune bassesse pour parvenir à ses fins, à ces yeux tant à la Guerre qu'en Amour, tous les coups sont permis. Insolent charmeur, il tentera de trouver la corde sensible chez son interlocuteur pour obtenir de lui ce qu'il désire, à savoir une protection. Nécessité vital vu sa tendance à être excessivement pris pour cible tant à cause de faiblesse physique que de sa naïveté présumée.
L'HISTOIRE
Premier enfant -et très probablement pas le dernier- de la jeune et douce Amiya, le nouveau-né qui naquit ce jour-là surprit bien des gens de par son singulier aspect. La jeune mère une fois la surprise passée, décida d'aborder avec esprit et humour cette inconvenance de la nature, ainsi elle décida de nommer son premier né « Agendra ». Ce terme à présent fort peu utilisé ou même connu puisque étant l'un des multiples nom indien de la montage de neige éternelle l'Himalaya.
Le jeune enfant accompagna sa mère durant une majeure partie de son enfance, ne trouvant auprès des autres enfants du Palais que des moqueries et de l'exclusion à son égard. Femme aimant et maternelle, Amiya s'occupa de son premier fils avec application et douceur. Poussant Agendra à se vouer à un enseignement plus théorique. Soucieux de contenter celle qui l'aimait, le jeune enfant se montra studieux et appliqué dans son éducation. La plupart des éducateurs décidèrent qu'il était superflu de tenter d'inculquer des notions guerrières à ce jeune enfant qui ne ferait pas long feu en dehors des murs. Seul Radir ne fut pas de cet avis prenant Agendra en pitié et il prit la décision en accord avec Amiya de former sommairement l'enfant lors de ses heures de libre.
Avec l'âge de ses 16 ans vire le moment fatidique de ce séparé de sa mère, Agendra en garda un souvenir impérissable en cause ce qu'Amiya lui glissa en guise d'adieux : « Si seulement tu avais pu être une femme, tu aurais eu un succès fou, mon chéri. » C'est le sourire aux lèvres que l'Albinos quitta la sécurité du Palais drapé de voile de la tête aux pieds. Le périple solitaire du Blanc ne dura qu'un temps, il croisa rapidement la route d'un Guérisseur neutre auprès de qui il trouva une protection relative. D'inconnus à Amants puis à Disciple, ils voyagèrent ensemble tandis qu'Agendra perfectionna son art.
Le train de vie bien installé se brisa soudainement sans le moindre signe avant-coureur. Le duo de guérisseurs accompagnaient alors une caravane de marchands itinérants se rendant à la proche ville, la majeur partie du convoi périr sous les coups de la Tribu du sable mené par leur chef Zadiste.
LE JOUEUR
Pseudo : Lj
Âge : 23 ans tout bientôt~
Comment avez-vous connu le forum : Irem et ses techniques fourbes x-x
Votre présence sur le forum : Aussi souvent que possible, Chef !
Êtes-vous un DC : Nop
Un Commentaire : Magnifique forum