Prénom : Haosha
Fils de : Singwen
Âge : 27 ans
Appartenance : Tribu du Vent
Métier/Occupation : Chef de la Tribu du Vent
Physiquement ? Vous désirez des informations sur ma physionomie ? Je ne vois pas en quoi cela pourrait vous être utile. Oh…Vous voulez avoir une idée de mon physique, au cas vous me rencontreriez dans le Désert ? Soit, c’est une raison valable je suppose.
Je suis un homme de grande taille, mesurant un bon mètre quatre-vingt quinze. Mes muscles sont relativement bien dessinés, le passif de guerrier et de chasseur permettant de se muscler. De plus, tenter de survivre au Désert sans vous forger un corps à même de lui résister…je doute qu’on ne trouve grand-chose de vous par la suite, sauf peut-être si vous avez l’amour et la passion de Sarab sur le sujet ? Je m’égare.
J’ai des cheveux longs, ne les coupant que de temps à autre. Leur couleur est la même que celle de ma Mère, Singwen. Un blond oscillant entre la teinte éclatante du soleil, et la chaleur du sable légèrement roussi par la chaleur.
Une chevelure à l’image du Sable, je ne sais si j’aime ou déteste mes cheveux à cause de cela d’ailleurs. L’idée que ma chevelure puisse faire penser au Sable, et donc, à la Tribu de ce nom est quelque chose qui provoque chez moi du dégoût. Mais je garde ce ressentit pour moi.
Si ma chevelure peut sembler extravagante dans sa couleur, sa coupe un peu anarchique car je me les coupe moi-même au poignard quant ils sont trop long, mes yeux et mon visage ne dénotent que peu d’étrangeté.
Des yeux d’un marron clair, qui sont parfois rieur et amusé en période de fête, mais qui peuvent exprimer du sérieux en cas d’attaques, ou briller de malice lorsque je dois parler « commerce » avec des Neutres des diverses Villes, et surtout, d’Assima.
La coupe de mon visage est assez angulaire, accentuant mes traits d’homme. Lèvres charnues, nez qui a néanmoins prit quelques coups dans le passé. De loin, ça se remarque à peine, mais de prés, on peut deviner qu’il a été cassé à quelques reprises.
Je porte souvent, certes tout le temps, un grand collier. Ce-dernier est le symbole qui fait de moi le Chef de Tribu. Il m’a été donné par l’Ancien Chef, et c’est la preuve de mon autorité. Je ne pourrais prétendre à mon statut sans lui. Pourtant, pour moi, ce n’est qu’une babiole de plus. Selon moi, je suis le Chef de ma Tribu avec ou sans, tant que je nous permets de vivre et surtout, tant que je nous permets de garder nos ressources en faisant face aux Sables.
Je pense avoir tout dit…oh, j’ai le torse tatoué. La créature représenter dessus est issue des livres et vieux mythes. On nomme ce fort reptile, un « Dragon ». J’avais perdu un pari, peu après être sortit du Palais de l’Ouest…et c’est comme ça que je me le suis fait faire, à Assima. Un bon souvenir désormais…car il m’a permis de lier des liens avec les Vents, de devenir un membre des Vents même.
Psychologiquement ? Ma façon de penser n’est pas plus compliqué qu’un autre. D’accord, cela serait mentir que de se voiler ainsi la face, je sais que j’ai des responsabilités sur les épaules.
La protection de ma Tribu, de nos ressources aussi…Ces éléments sont chers aux miens et à moi-même, ils n’ont nuls prix. J’ai un sentiment protecteur envers eux, un sentiment que l’Homme que j’aime à appeler « Père » m’a transmis.
Je suis d’un naturel souriant, et porter sur l’aide. Les Hommes plus faibles que moi, je leur prête à mon aide sans chercher de réel retour. C’est un acte normal, c’est ainsi que ma Mère m’a élevé au palais de l’Ouest : serviable.
J’apprécie les gens qui ont de l’esprit, de la conversation…mais qui savent aussi s’amuser et rire de temps à autre. Je sais le sérieux de ma position, mais je pense que si je ne me permettais pas de la détente, du rire, de temps en temps…je flancherai. Le moral est quelque chose de facilement destructible, aussi, je le construis au fil des années.
J’avoue savoir faire tourner mon esprit pour trouver des solutions, mais je préfère de loin agir avec des actions de dissuasion, qu’avec les mots ou alors sur la défense. L’attaque est la meilleure des défenses, aujourd’hui encore j’en reste persuadé.
Il est vrai que cela peut être malvenu de ma part, mais je m’en prends principalement au Moral de mes Ennemis, à leurs motivations. J’ai une grande haine pour la Tribu des Sables, car ils agissent comme des êtres inhumains envers les autres. Leur chef est la Lie de ce qui reste d’Humanité, et je me dois de protéger les miens d’Hommes de sa carrure.
Que puis-je vous raconter ? Je ne suis pas un homme difficile à comprendre.
J’ai des responsabilités, je les assume. Parfois, elles me pèsent, mais il me suffit alors de profiter de l’ambiance de ma Tribu, ou de simplement passer quelques instants avec Sarab pour me sentir mieux, pour reprendre la confiance que j’ai en moi.
Je cherche à être un Homme Fort, Sûr de Lui, qui ne manque jamais à ses paroles. Un Homme du désert sûr et fidèle à ses convictions. Ce n’est pas toujours difficile, surtout que je n’aime pas être haït, mais je fais avec.
Son histoire : Mon passé n’est pas spécialement un secret. Je suis né au Palais de l’Ouest, cet univers où les femmes sont respectées et traitées avec humilité.
Ma mère m’a élevait, j’étais son premier Fils après tout. Elle n’a jamais voulu me décrire mon Père, probablement car je ne l’ai jamais questionné sur le sujet.
Dans tout les cas, mon enfance fut assez normale. Il m’arrivait de me disputer avec d’autres garçons de mon âge, ou un peu plus vieux, mais nous utilisions l’apprentissage du combat pour régler nos comptes.
C’est dans des affrontements, des cours, que j’ai apprit à manier l’épée. Mon corps, je me le suis musclé afin de pouvoir faire face au combat contre ses autres hommes, puis par la suite, protéger mon très jeune frère, et ma sœur.
Oui, j’ai une sœur. Elle vit au palais de l’Ouest, avec Mère…cette année, elle va avoir vingt-ans. Quant à mon frère, Mère l’a eut tardivement…j’avais déjà 13 ans.
Nous n’avons pas le même Père, sur le sujet Mère me l’a affirmé. Aucun de nous trois en fait, n’a le même père, mais cela ne nous a pas empêché Noah et moi-même de nous entendre. Je cherchais à la protéger, même si nous n’avions pas la même leçon. Et quant Cobalt naquit, même si je savais qu’il ne me restait que trois ans à faire au Palais, j’aidé Mère au mieux, et cela, entre les cours de Combat et ceux plus théorique.
D’ailleurs, je ne brillais pas plus qu’un autre dans le domaine. Mais l’histoire est un domaine d’apprentissage, avec l’apprentissage des us et coutumes, du savoir-faire pour marchander, qui avait vraiment de quoi me plaire.
Ma vie était paisible quant j’y repense…mais, avoir expérimenté la vie de Frère Aîné m’a permit de mûrir, de comprendre ce qu’est le désir de protéger les siens.
Lorsque j’ai eu 16 ans, j’ai quitté le Palais sans réels regrets. J’étais triste de laisser ma jeune sœur, et mon petit frère…mais je savais que je reverrais ma sœur lorsque je viendrais pour mon Devoir d’Homme…de même, je savais que lorsque ses seize ans viendrait, Cobalt et moi nous nous reverrions.
Peu après être sortit, je trouvais une caravane. Des hommes de la Tribu du Vent, avec qui je sympathisais. Je me souviens d’une soirée rudement arrosée à Assima, mais je vous en ai déjà parlé je crois.
J’ai toujours pensé que je jouerai les vagabonds, mais lorsque j’ai rencontré leur Chef de Tribu…je fus captivé par lui. La prestance qu’il dégageait, la confiance que ses Hommes avaient pour lui.
Subjugué, je vins à me lier à eux, à offrir mon savoir-faire de guerrier, à vouloir défendre ce qui semblait être si précieux.
Avec le temps, j’appris qui été nos ennemis. La Tribu du Sable…et la cruauté de ses guerriers. L’esclavage n’est pas quelque chose que j’accepte, et savoir que les Sables trempent là-dedans m’exècrent. Les massacres qu’ils laissent derrière eux aussi.
Je ne m’étais pas réellement rendu compte, à force, que je gagnais la confiance des Hommes de la Tribu, mais aussi, du Chef.
Je me sentais parfois même en décaler, un peu trop sang-chaud pour faire du bon travail. Mes déboires impulsifs d’enfant…le Chef les canalisait. Il devenait comme un Père pour moi, et je le pris sans m’en rendre compte comme figure paternel.
C’est alors que mes 21 ans arrivèrent. Le Chef me poussa à retourner au palais. Il savait que j’avais volonté à m’y rendre…et j’y suis donc retourné.
Je l’ai quitté la même année…celle qui voulut de moi comme géniteur de son futur enfant était une amie proche de ma sœur.
J’ai put revoir Mère, Cobalt aussi, et Noah. Une joie…quelque chose comme le fait d’être rassuré. Cet enfant, j’ignore si je le reverrais. Mais je sais que ma propre famille lui parlera de moi, mais les choses commençaient à changer dans la Tribu quand j’y suis retourné.
Le Chef, ce Père de substitution, avait été gravement blessé dans un affrontement avec Zadiste, nouvellement chef des Sables.
Je crois avoir eut envi de poursuivre cet homme dont la folie était dépeinte…mais la Tribu m’a retenu. Sur son lit de mort, la maladie ayant infecté les plaies, le Chef me fit passation de son statut.
Je ne me sentais pas prés, et je ne compris pourquoi le jeune impétueux que j’étais avait été choisit. Pourquoi, tous, m’accepter ainsi ?
J’avais cette manie de me considérer comme n’importe qui d’autre de la Tribu, et je ne m’étais même pas rendu compte que le Chef m’écoutait plus qu’un autre, je ne m’étais pas rendu compte que notre affection l’un pour l’autre était semblable. Il m’avait vu comme un Fils, et moi, je l’avais vu comme un Père. J’avais finalement, vingt-un ans, et je devenais Chef de la Tribu du Vent.
Les responsabilités suivirent, et je ne pouvais laisser la folie de Zadiste perdurer.
C’est la raison pour laquelle, je n’allai pas lui faire face dans l’immédiat. Non, il devait subir une perte aussi grande que la mienne, il devait comprendre que sa cruauté serait domptée, vaincue.
J’ai moi-même mené les Guerriers de la Tribu pour ce qui fut ma première action guerrière en tant que Chef. J’ai moi-même écrit, avec le sang de son Père, le message à destination de Zadiste.
J’ose croire qu’il a comprit la menace, après que son Camp fut rasé et mit à feu et à sang. Je fus intraitable…je préfère prévenir, que guérir.
Je préfère l’action aux belles paroles. Les jeunes recrues, les rares instructeurs, les plus vieux…les bêtes encore présentes. J’ai tout fait ravagé, et j’ai moi-même fini recouvert du sang de ces hommes.
Je ne m’en suis pas sorti indemne, quelques cicatrices parcourent depuis mon dos, dont une belle estafilade au niveau de ma cuisse droite. Mais je me devais de combattre avec mes hommes, de mener cette expédition préventive et surtout, punitive.
Le temps s’écoula.
J’allais parfois au niveau du palais de l’Ouest, afin de trouver de potentielles recrues pour la Tribu. J’ai d’ailleurs rencontré Sarab ainsi, un an à peine après être devenu Chef. Je ne saurais dire de ce qu’il en est entre lui et moi…il semblait passionné par le Désert, par extension, probablement voyait-il le désert en mon corps ?
Je ne saurais le dire…mais ce jeune danseur, je fus ravi de l’accueillir au sein de notre « Famille ». Au final, nous avons fini par partager notre couche à quelques reprises.
C’est un peu à regret que je le laisse voyager dans le Désert qui le fascine…mais je suis toujours ravi de l’accueillir lorsqu’il nous revient.
J’ignore ce qu’il est réellement de mes sentiments. Est-ce juste une passion ? Il n’est pas le plus fort de mes Hommes, c’est certain, parfois il me semble même délicat…mais je crois que c’est ce que je lis dans ses yeux qui me captive.
Tout en étant désormais lié à la Tribu, une sorte d’étincelle de liberté, d’amour pour notre vie dans le désert, semble l’habité. Ses récits, sa passion, elle me captive autant que sa danse. Finalement, je me laisse aller en sa présence, savourant juste ces moments comme il vienne. Je pense que plus que de l’amour, c’est une forme de respect qu’il y a entre nous. Un respect qui se mue parfois en désir…mais comme toute personne de ma Tribu, j’ai juré de le protéger.
Que dire de plus ?
Une fois devenu chef, j’ai apprit les responsabilités et j’ai apprit à réellement commercer. Les plus anciens de la Tribu ont sût me quitter sur mes débuts, mais désormais, je gère tout avec une main de maître. Enfin, je ne suis pas à l’abri d’un impair, l’erreur restant humaine.
Mais, je savoure cette vie qui va et vient. Les combats contre les sables se sont amoindris depuis peu…mais je sais que Zadiste n’en restera pas là, je le sens. Alors, j’entraîne nos recrues dans l’espoir de leur laisser une chance de survivre.
La Loi du désert…est-elle réellement celle du plus Fort ? Ou est-ce juste celle du plus Sage, du plus Rusé ?
Une présentation rapide du joueur ?
Bon et bien....je me fais appeler Alexander Dark ou Lou Ainsel sur la toile...cela fait longtemps que je zieute Badiya sans, finalement, y venir....en fait, ça fait depuis que j'ai validé un partenariat entre vous et mon fofo que je zieute Haosha....sans jamais avoir osé ^^'
Là, je me suis dit, il est temps de foncer et d'essayer donc ben, me voilà !
Pour la fiche, j'ai besoin de quelques détails que j'ai demandé par MP pour la Psychologie et l'Histoire....et je suis ouverte au MP, pour ceux ayant des liens/informations en rapport avec Haosha et qui ne sont pas spécifiée dans le contexte ou la fiche prédéfini. o/
Enfin, voilà. Désolé de poster une Fiche en cour T_T