LE PHYSIQUE
Peau halée, cheveux roux, yeux noisettes dont un aveugle garni d'une cicatrice plutôt visible, une peau plutôt foncée, des muscles saillants, un corps pas trop mal, Iheb, notre ami qui taille dans le mètre quatre vingt n'a pas un physique des plus lambda mais n'en joue pas vraiment non plus. Il ne sait pas de qui il tient cette couleur de cheveux, peut-être d'un parent éloigné, à vrai dire ça lui est égal, il entretient son physique comme un homme normal, mais n'use pas de superflu. La seule chose qui aurait pu le déranger serait sa cicatrice, au niveau de son œil aveugle, mais même pas, elle fait partie de lui, et il a accepté de détail de sa vie. Il a hérité de celle-ci l’or d’un combat, d’une bagarre, appelons ça ainsi, et son adversaire avait un objet plutôt lourd et bon, taper dans le visage de l’adversaire forcément ça fait des dégâts. Ça ne le gêne pas Ça ne l’empêche pas de vivre et c’est le principal. Il porte les cheveux longs, souvent détaché sauf quand il travail, il se permet des tresses ou des queues de cheval.
LE CARACTÈRE
Calme et posé, ces deux adjectifs peuvent déjà témoigner du caractère du rouquin. La force tranquille, il n’est pas du genre à chercher la bagarre, préférant largement discuter que d’en venir aux mains, mais les hommes sont idiots, et il arrive souvent qu’ils soient obligés d’en arriver là… Il a un côté taquin, mais seulement avec les personnes qu’il apprécie un minimum. Pas très bavard non plus, parler pour ne rien dire ne l’intéresse pas vraiment, il préfère être seul que mal accompagné, très cliché mais très réel. Il aime la compagnie des personnes intéressantes, celles qu’on ne croise que trop rarement à son goût. Il a un faible pour les gens passionnés par leur métier, par une passion, ceux qui ont l’étincelle dans les yeux à l’évocation d’un sujet, celles avec qui ont peut discuter des heures sans s’ennuyer, sans voir le temps passer. Il est aussi un tantinet bougon, mais seulement quand il ne sait pas faire quelque chose, ça se voit à son air, il ne pense qu’à ça, comme s’il ne pouvait pas vivre sans passer au dessus de ce défaut. Ha, aussi ; il lève souvent un sourcil, lorsqu'il est étonné ou désappointé, ce n’est plus vraiment un secret pour qui que ce soit d’ailleurs.
L'HISTOIRE
En regardant en arrière, Iheb voit à quel point il a eu de la chance. Naissant au palais de l’ouest, il n’était pas le premier enfant de sa mère, mais il ne connaissait pas ses autres frères et sœurs, s’il en avait. Sa mère ne le couvait pas, mais elle l’adorait, ne voulant que son bien, elle l’encourageait à apprendre. Son éducation fut celle que tous les enfants avaient dans cet endroit merveilleux. Apprendre à lire, à écrire, compter… Iheb était un petit garçon épanouît, apprenant avec un intérêt certain les nombreuses choses qu’il était possible d’apprendre. Peut-être même un peu trop curieux, il entendait régulièrement « Iheb, tu ne peux pas tout faire, il faut choisir ! » dit sur le ton amusé d’une personne adulte, souvent sa génitrice. Il s’intéressait surtout à l’histoire, les arts, le funéraire même. Il n’était pas rare de voir le petit le nez dans un bouquin, l’imagination n’ayant pas de limite, il pouvait lire un livre et en rêver pendant des jours, des nuits ! C’est ce qu’il aimait, il se sentait le roi du monde, il pouvait tout faire, il était aimé et protégé. Il apprenait à manier les armes, c’était quelque chose qu’il appréciait sans non plus en devenir friand, préférant largement apprendre à les forger. Malheureusement, toute bonne chose à une fin, et c’est exactement à seize ans qu’il quitta le palais. Il avait eu plus de chance que d’autres, car grâce à son apprentissage, il trouva un travail en tant que forgeron à Assima. C'était une véritable chance, il n'était pas obligé de rejoindre un clan, chose qu'il pouvait concevoir, mais il appréciait son mentor et la vie qu'il commençait à construire lui plaisait. C'était agréable, il y avait des gens charmants, c'était un très bon coin pour commencer sa vie. Par plaisir, notre roux avait suivi des formations d'orfèvrerie, il pouvait laisser sa signature sur ses armes. Elles étaient souvent finement décorées et sa renommé commençait à s'étendre plus loin que la capitale. Malgré tout cela, il espérait secrètement que sa mère allait bien, il avait vingt-sept ans et ne l'avait pas revu depuis onze ans, n'étant pas retourné au palais.
LE JOUEUR
Pseudo : Zizi
Âge : 22 ans
Comment avez-vous connu le forum : Je suis tombé dessus par hasard, et comme j'ai arrêté le rpg depuis 2013, c'est un peu une "remise en route" si vous voyez :D
Votre présence sur le forum : Tous les jours !
Êtes-vous un DC : Non, tout beau tout neuf
Un Commentaire : Prenez soin de moi, je jure de faire de mon mieux !